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Beschreibung

La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Cette œuvre est considérée comme le premier roman moderne de la littérature française. L’action se déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II. Mademoiselle de Chartres, jeune fille de seize ans élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, paraît pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours, un coureur de jupons. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à laquelle sa mère, Madame de Chartres la conjure de renoncer : « ne craignez point de prendre des partis trop rudes et trop difficiles, quelque affreux qu’ils vous paraissent d’abord : ils seront plus doux dans les suites que les malheurs d’une galanterie ». Le roman décrit avec beaucoup de minutie les étapes du sentiment amoureux chez les trois personnages, ses effets sur leur comportement et la lutte de la princesse pour ne pas trahir les préceptes maternels.
Une édition réalisée par Bibebook

Apple Books: Kundenbewertungen

Durchschnittlich

 3,5 (116 Bewertungen)

Apple Books: Kundenrezensionen

Avis mitigé

 – 
n_h_mss
 – 
2022-02-06
Cette histoire me met dans une ambiguïté concernant certains éléments et sa fin, mais le courage de cette femme est exceptionnel et vaux une lecture avec attention tout en se renvoyant à sois même

La princesse de Clèves

 – 
L.um
 – 
2021-12-29
Un livre magnifique autant dans la forme que dans le fond. Une fin poignante, affligeante, un peu cruel mais parfaite. Juste je dirais magnifique.

Reflet d’une époque

 – 
AvisTech
 – 
2020-01-01
où les intrigues ont une certaine complexité et où il faut réfléchir à 5 bandes pour arriver à ses fins.
Ce livre donne une impression, sans doute vraie, que la vie à la Cour est un travail : il faut être brilliant, plaire et ne pas déplaire aux personnes influentes.
L’intrigue implqyant un amour contrarié sert de trame à ce récit, sans plus. Bien que centrale et cruelle, celle-ci n’est en fait qu’accessoire.
Le livre donne aussi une vision plus humaine des Reines présentées comme concientes de la solitude du pouvoir, jalouses et même avides de potins.